Samedi 3 février 2007 à 12:17



Toutes les nuits, hé bien elle dort avec moi. Enfin, sur moi!
C'est ma p'tite lionne d'amour.
Elle ne mange que les croquettes wiscas, le socisson, le jambon et le chocolat noir.
Elle ne boit que l'eau de la piscine.
Elle miaule quand elle veux qu'on s'occupe d'elle.
Elle nous apporte des cadeaux.
Elle a très peur des seche cheveux et des bulles de savon.
En quelques mots, voilà mon Bidon!

Mercredi 31 janvier 2007 à 11:07


Il etait une foi...


Un prince...                                                Son fidèle destrier...            
        




La princesse...








 Leur chateau...



Voilà...

Lundi 29 janvier 2007 à 10:23



*Flora et mwa*



Mardi 23 janvier 2007 à 15:47


Mais pourquoi?!




Parce qu'il y en a trop à l'interieur, que l'on boue.
Les cris, les hurlements ne suffisent plus.
Pourtant il faut que ça sorte.

Alors on fait sortir, on evacue, c'est le seul moyen.
Ca apaise on se sent mieux après.
 Un mal qui fait du bien. 


Mercredi 17 janvier 2007 à 18:41


Seccotine




L'administration de la facultée des sciences de Montpellier à décidé de nous séparer ce semestre!!!

Mais il faut bien plus qu'une liste d'appel pour nous décoller !

Alors quand l'une n'a pas cours elle rejoin l'autre dans l'amphi et vice versa. Entre les cours, les soir et à midi on se retrouve et on fat des bêtises, on se moque, se fait des films, se raconte des histoire, on blague et on rit.

Merci d'être entrée dans ma vie petite fleur.




Samedi 13 janvier 2007 à 12:51










Mardi 19 décembre 2006 à 21:57



Bientôt un an...

Ma vie a basculée, mes rêves se sont effacés, mes espoirs dissipés, mon décors à changé, mon sourir s'est noyé... Mon coeur s'est arrêté.

L'année 2006,
j'en garderai un gôut plus qu'amer,
une succetion d'évènements douloureux, des moments difficiles...
En résumé une réele entrée dans la réalité, la redescente sur terre et surtout dans le monde des adultes, c'est donc ça avoir 18 ans!?

Il y a six mois déjà que j'ai laissé ma famille, mes amis.
Je rentre dans trois jours les retrouver... Pas tout à fait comme je l'aurais imaginé mais la vie est faite ainci: on perd certaines personnes, nos chemins se séparent pour des raisons que l'on ignore, qu'elles ignorent aussi bien souvent. Parfois parce que l'on a plus rien en commun, ou encore parce que l'on a décidé d'être rencunier pour une erreure que l'on a surement oubliée, qui n'a pas peut être pas étée volontaire ou qui n'est pas si grave après tout. Ou plus encore, quand la mort nous sépare.

 Quelquefois on retrouve ces personnes que l'on croyait perdues à jamais, qui nous trottaient dans la tête ou que l'on avait oubliées. Ces années de silences dont la cause nous échappe. On a grandit, on a mûrit,  on s'aime toujours, mais pas comme avant, c'est encore plus fort. Puis on se trouve ridicule d'avoir perdu  temps de temps.

Le plus souvent on en rencontre d'autre, des gens qui ont grandits sans se douter un seul instant que l'on pouvait exister. Pourtant un jour, nos routes se croisent, et on a alors tout à apprendre de l'autre. C'est très enrichissant.

Il y a d'autres personnes que l'on oubli aussi vite qu'on les a rencontrées. Elles nous ont peut êtres fait sourir ou ennuyées un bref instant dans notre vie.

Il y a celles qui disent être là mais que l'on a jamais vu.

Et il y a celles qui deumeurent toujours.




Samedi 11 novembre 2006 à 18:04





Nous sommes pire!






Mardi 31 octobre 2006 à 14:34



Parce qu'un jour c'est ce que tu m'as dis.


 "Alors que nous grandissons, nous apprenons que certaines personnes qui sont supposées ne jamais nous laisser tomber le feront certainement un jour.

Tu auras le coeur brisé, probablement plus d'une fois, et c'est plus dur à chaque fois.

Tu briseras des coeurs toi aussi, alors rappelle-toi ce que c'était quand le tien était brisé.

 Tu te disputeras avec ton meilleur ami.

Tu tiendras rigueur à un nouvel amant pour ce qu'un ancien t'a fait subir.

 Tu pleureras car le temps passe trop vite, et tu perdras éventuellement quelqu'un que tu aimes.

Alors prends trop de photos, ris trop, et aime comme si tu n'avais jamais été blessée car 60 secondes durant lesquelles tu es préoccupée sont 1 minute de bonheur perdue à tout jamais. Trouve un garçon qui dit de toi que tu es belle et non que tu es bonne; qui te rappelle quand tu lui raccroches au nez; qui restera éveillé juste pour te regarder dormir. Attends le garçon qui t'embrassera le front; qui aura envie de te montrer au monde entier alors que tu es en survet; qui te tient la main devant ses amis. Attends celui qui te rappelle constamment à quel point il tient à toi et à quel point il est chanceux d'être avec toi.
Attends celui qui se tourne vers ses amis et dit: "c'est Elle..."..."





Lundi 30 octobre 2006 à 12:51




Je pensais qu'on pouvait être ou trop grosse ou trop maigre...
J'ai appris en grandissant que l'on pouvait avoir en réalité une multitude d'autre défauts...



Vendredi 27 octobre 2006 à 21:41



« tant que tu auras peur de l'amour tu ne sera pas heureuse… » toi...

« tu pourras jamais m'oublier… et tu le sais…. Tu pourras faire tout ce que tu veux tu n'y arriveras pas Baby… » lui...

« je hais de toutes mes forces tous ces gens qui t'on rendu… comme ça mal dans ta peau et tout »


Ces phrases que je relis, et qui me font réagir... Je décide donc de vous l'écrire, vous confier une histoire, une partie de ma vie, de "ça"...

Il m'en voudra surment.

Aujourd'hui ça fait 4 ans que tout à commencé, alors tampis...

A l'époque je passais mes week ends à la  patinoire avec ma meilleure amie, nous le croisions quelques fois, admirant  son style, sa dextérité sur la glace...
Un jour il vint nous parler, c'était un type sympa, on plaisanta et il fini par prendre mon numéro. Les jours passèrent, je l'avais oublié... Quand il m'appela. Nous sommes restés un bout de temps au téléphone et avons remis ca les jours, les semaines et les mois suivants. 1h, 2h tout les soirs, on se voyait à la patinoire chaque semaine, il venait me chercher au collège (en voiture), on s'envoyait des textos la journée. Tous mes amis étaient contre cette relation bizzaroïde, ils ne pouvaient s'empecher de cracher leur venin sur lui à longeur de temps. Ca a fini par m'aggacer, j'ai donc préferer passer le reste de mon temps avec lui, qu'avec eux...

Blond, yeux bleus,  drole, gentil, attentioné, célibataire... Tout ce dont pouvait rêver une petite file de mon age. Nous nous accrochions l'un à l'autre sans retenue, je n'avait d'yeux que pour lui. Je finis par l'aimer, lui aussi.

Les mois passèrent, 4 exactement, quand il m'annonça son départ en république dominicaine avec quelques pots... J'appris par la suite qu'il était parti en réalité avec sa copine avec qui il était depuis plus de 6 ans. Le choc.

C'est 6 pieds sous terre et la tête basse que je retourna aurpès de mes amis, consolée par ma Lolo. Les jours passèrent.

Il me manquait... Terriblement en fait! Je le recontacta, continua à le voir, puis il finit par m'embrassé. C'était le 13 mai 2003 à 17h35. J'etais sur un nuage, des papillons plein le ventre. Notre relation demeura secrete dans un premier temps. Je finis par l'avouer à Lolo "moi je le sent pas ce mec mais si t'es heureuse..." et je l'étais. A mes parents, qui l'ont accepté malgrès une grande différence d'age. Nous nous voyions tous les jours, le soir pendus au téléphone, les textos, les mots doux... Nous étions aveuglés, pris dans un torrent d'amour, personne n'aurait jamais pu nous séparer. 4 moi plus tard, il retourna en république dominicaine, avec elle toujours et quelques pots... Séparés officiellement, ils dormaient néamoins dans la même chambre, je n'ai jamais réussi à en savoir plus. Je ferma les yeux encore une foi sur cette histoire.

Tout alla ensuite très vite, toujours aveuglée j'obeissait, j'eccetais de bon gré, pour lui faire plaisir.

  Ca commença par l'interdiction formelle de rigoler avec une personne de sexe opposé, puis tout mes numéros de téléphone, mes addresses msn de gars effacées, pour enfin être interdite de parler à n'importe quel garçon pour quelques raisons que ce soit. J'avais Lolo, tout le reste de mes amis étaient des mecs. Je profita de mon entrée au lycée pour me faire des copINES, Lorélia, Popom' Rikette, Flo, Mimie, Soso tout ça... Je parlait clandestinement à mes amis les plus cheres sur internet, dans la peur et l'angoisse d'être surpise. (Je finis un jour par lui avouer...)

Après les amis, l'apparence. Il m'avait offert un raz du cou, magnifique collier. Aucun tee-chirt n'avait le droit de descendre plus bas que ce bijou sous peine de se faire traiter comme une catin. Le maquillage? Interdit! Pas de fringues moulantes, jamais les cheveux attachés (il ne faut pas que les "autres" voient ma nuque), et de préférance un pull autour de la taille. Pour ce qui est des magasins, il devait "valider" les articles que j'achetait pour que je puisse les mettre. Il m'a quitté le jour ou, en vacances,  javais fait l'erreure de mettre un haut que ma mère m'avait acheter pour aller au réstaurant...

  Nous nous enfermions dans notre monde, pour moi c'était normal... Mon portable passait en revue complète toutes les semaines, je devait lui lire les messages que je recevait, quand ce n'était pas lui qui le fesait! Les quelques meilleurs amis qui me telephonaient étaient sur écoute (haut parleur). Mis appart ça rien à lui reprocher, il pensait tout le temps à moi, m'appelait tout les soirs, c'était un plaisir au début puis ça devint une obligation, 1h minimum de 8h à 9h, réduite à 40 min si j'avais vraiment trop de devoirs. Un bonjour, un bonne nuit et un bon appetit, c'était le minimum de textos exigés par jour. Je le fesait. Il m'offrait des fleurs, je lui donnait tout l'amour que j'avais en moi, et il le prenait volontier. Toutes mes forces, je l'aimait plus que moi. Il s'occupait de moi, me protegait.

Grand sportif je le massait souvent, des heures... Lui lavait les cheveux tout les jours, lui coupait les ongles, lui préprait ses affaires, à manger.
Plein de petites surprises, d'attentions l'un envers l'autre.
Il me voulait tellement que pour lui que desormais chaque minute qui composait ma vie devait lui appartenir, mercredis et week ends après mes devoirs étaient pour lui, je ne pouvait voir Lolo que très peu, et en sa présence. Le matin il se levait à l'aube pour m'accompagner en cours, chaque heure de perm et tout les midis il me récuperait, le soir il prenait ses 20 min de pause pour venir me chercher et me deposer en bas de chez moi, un luxe certes mais que je n'appréciait pas. Plus AUCUN contact avec l'exterieur, aucune sortie sans lui, ne pas lacher sa main, ne pas regarder les gens qui passent, un regard vide, qui fixe l'horizon...

Je ne vois plus personne.

  Il me gâte, il me gête aussi, très influançable et très populaire, il se fait "respecter" comme on dirait. Il a des tas de contactes partout dans la ville où nous habitons, des gens que je ne connais pas, et qui lui font, chaque jours, un rapport. Je m'explique: ils l'informe de mes sorties, des gens à qui j'ai parlé, que j'ai croisé, ce que je fesais, à quelle heure. Il m'est arrivé lors des rares foi ou j'enfreignait les "règles" de recevoir un texto qui disait mot pour mot: "T'ES AVEC QUI LA ME MENS PAS!!!!!!!!!!!!!!!!" oubien d'entendre lorsque je lui racontais ma journée "Oui je sais". Sensation très désagréable que de se faire constament épier. Encore aujourd'hui, je le revoi et quand je lui fait part de certaines sorties ou autres, il me répond "Oui j'ai eu quelques echos" ou encore "On me tiens au courant".

  1 an et demi passèrent... je finis pas étouffer, c'était comme s'il vivait en moi, il pensait à travers moi, chaque geste que je fesait, chaque mot que je prononçait étaient dictés pas lui. Il m'a fait subir 13 ruptures. Je supplier, me jetter par terre, pleurer des nuits durant pour qu'il revienne. Les causes, toutes plus stupides les unes que les autres: "Tu es sortie de la glace pour lui dire bonjour", "tu as regardé ce mec", "tu as oublié de m'envoyé un message", la cause la plus ridicule est parce que un matin, alors que j'étais en vacance avec ma meilleure amie, je lui dit en plaisantant que j'allais prendre ma douche avec elle!

Il ressenti mon épuisement, et eu peur de me perdre.

L'enfer commença.

Sa première tentative de suicide se déroula sous mes yeux... Dans sa chambre un soir... Au cutter. La seconde un peu plus tard dans la nuit, nous essayions (Lolo et moi) de le tenir eveillé à coups de claques... la plaquette de calmants. La dernière foi que je suis allée chez lui j'ai découvers un couteau tranchant sous son oreiller... J'ai alors du être jour et nuit à ses côtés, j'avais peur... Dès que je disait un mot de traver ou que j'agissait mal ses menaces et ses bêtises reprenaient de plus belle... J'étais pétrifiée, personne n'était au courant mis appart Lolo. Je ne disait rien, je fesait semblant de rien... Et ça a durer 4mois.

Un matin, en cours de maths (avec monsieur Radis ;-) ) Je reçois un texto de lui, et ne répond pas... Le 21 mars 2005, Je fondu en larmes. J'avais pris ma descision. Il m'a attendu toute la journée, dehors, a moitié shooté, sous la pluie, au milieu de la route avec notre photo, la brandissant comme un trophé. J'étais tétanisée. J'ai raconté mon histoire à une amie qui attendais avec moi 19H que ma mère vienne me chercher au lycée. Je me sentais libre, vulnérable, seule, très faible. Il a attendu toute la nuit en bas de chez moi jusqu'au matin quand je descendi (avec ma mère, j'avais prévu le coup) et où il me sota dessus m'agrippant de toutes ses force, je parti en hurlant et en pleurant (oulààà j'en pleure encore comme si c'était hier!). Plus question de me balader seule dans les rues, de sortir de chez moi ou quoi que ce soit, c'était ma chambre, la voiture et le lycée, rien d'autre. Je recevait des messages de lui en pagaille, des lettres, des fleurs, il venait chez moi raconter sa tristesse et ses malheurs à mes parents qui ne conaissaient rien de tout celà, tout ce que je vous raconte aujourd'hui, pour la première foi, avec autant de details.

Les premiers temps ma liberté me réjouissait, je voyait qui je voulais, ou je voulais, quand je voulais, et recevais quelques textos du genre "ah je voi que tu t'éclates au bowling avec tes pots!! c'est ça fais ta craneuse etc etc ..." et n'y prettait pas attention. Je pouvais à nouveaux m'habiller comme je le souhaitais, resortir les derniers hauts qu'il ne m'avait pas confisqué du placard...

Tout celà ne dura qu'un temps "Je te protegais maintenant que tu ne m'a plus tu es en danger" me dis-il un jour. Ce fut affeux. Il m'effrayait, m'envoyait des menaces anonymes sur internet, je ne dormais plus, ne sortais plus ne vivais plus.

Mes parents toujours présent, et je les remercie de tous mon coeur, ma soeur... De toute cette histoire n'a eu pour seul mot "Le pauvre il doit être triste". Et oui il l'était, il m'aimait j'en suis convaincue, c'est dailleurs pour ça que je suis incappable de lui en vouloir. J'ai la haine, j'ai l'impression d'avoir gacher une partie de ma vie, mais je ne lui en veut pas.

Les vacances d'été me permirent d'y voir plus clair... De m'évader. A la rentré tout recommença. Les menaces, les textos, les appels, tout...

Mon quotidien n'était fait que de larmes, de peur et de renfermement. A 17 ans, cloitrée dans ma chambre, allongée sur mon lit ou par terre, les yeux rivés au plafond.

A l'aube de l'année 2006, ma meilleure amie me lacha, et je sombra dans le fond du gouffre, dans l'abîme, les tenèbres...


Impossible alors de refaire surface. Et là toutes les forces qu'il me restait, la dernière lueur d'espoir, le concentré d'amour caché au fond de moi, c'est toi qui l'a fait revivre. Je te dois tout. Je t'aime.


à toi Théo.



Depuis je passais ma vie à me méfier, à éviter toutes sorties, à regarder chaque voitures qui passait, chaque personne qui m'entourait, tous les gens que je croisait. Je sort dans la rue, mon coeur s'emballe en chamade, je croise quelqu'un, je baisse la tête, plus jamais je ne prendrais le bus seule, plus jamais je sortirais le soir non accompagnée, plus jamais je ne décrocherai à un numéro privé, plus jamais je ne ferai confiance, plus jamais je n'aimerai.

Voici une des raisons de mon départ. Ici j'ai moins peur, je suis plus tranquille, un peu moins sur mes gardes, un tout petit peu moins méfiante... Je suis juste un peu mieux...





Lundi 23 octobre 2006 à 13:08





Si si ça arrive!!




Des fois... On est heureux.

C'est rare.
Ca ne dure pas longtemps.




Mais ça arrive!



Dimanche 22 octobre 2006 à 17:01




J'aurais bien voulu pour passer le temps,
 te serrer dans mes bras amicalement...
 Mais le temps qui passe n'est pas à tes yeux
un argument apparament suffisant..


Samedi 21 octobre 2006 à 17:56





Parce qu'on ne peut ni parler, ni se taire.

   Le silence effectif vaudrait mieux?
Je ne pense pas, ni n'importe quel silence.
Il est pourtant difficile de s'exprimer pour certains.
Garder le silence n'est pas forcément ne rien avoir à dire...  

 
   Alors on écrit, une lettre, un mot, un brouillon. Pour nous, pour     quelqu'un, parce qu'on à quelquechose sur le coeur.

On écrit parce qu'on ne peut pas se taire.

Ou parce qu'on ne veut pas. Le silence est un ennemi.
Quand il enferme,
Quand il écrase,
Quand il tue.

   Et il tue parfois.

    On écrit pour lui rendre sa légèreté, sa transparence, son ouverture, sa lumière, mais sans le briser vraiment, comme ferait la parole, sans en sortir, sans le renier.

   On écrit au coeur du silence, où la parole ne va pas

    Les lettres d'amour dureront plus longtemps, bien souvent, que l'amour. Elles lui survivront. Elles seront encore là, si on veut, quand l'amour sera mort.






Samedi 21 octobre 2006 à 14:43




Si tu veux un coeur, prends le mien,


Si tu es daccord moi je ne veux rien.
 



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